Samuel Rousseau réinsuffle la vie à des rebuts inertes par la magie de l’image animée. Il travaille l’alliance espiègle, questionne (im)pertinemment notre modernité, joue sur la déviation de nos représentations jusqu’au vertige.
La première collaboration de Samuel Rousseau et du CEAAC remonte à 2009, lorsque l’artiste mène le projet monumental Hélioflore au Château d’Andlau (67) : l’installation est une plante « électrique », constituée de milliers de diodes lumineuses, qui se déploie sur les murs du château fort.
L’espace du centre d’art du CEAAC sera le terrain d’expérimentations de Samuel Rousseau pour y rassembler des pièces conçues lors de son récent séjour à New-York et des oeuvres plus anciennes qui jouent à associer les nouvelles technologies aux rapports ancestraux de l’humain à son environnement, qu’il soit naturel ou citadin.
Lors de cette exposition au CEAAC est montrée la pièce Brave Old New World que Samuel Rousseau a présentée pour le prix Marcel Duchamp 2011.