Né en 1981, vit et travaille à Séoul.
Accueilli en résidence à Strasbourg en 2013.
« Le mur blanc est une surface paisible, en apparence seulement. Sa pureté apollinienne a un grand pouvoir de dissimulation. Les forces de l’obscurité, de la dispersion, de la création chaotique peuvent être réveillées par sa destruction. Encore et toujours, les installations de Gim nous montrent les craquement de surfaces habituelles, les brèches ouvertes dans de beaux revêtements, que forment l’irrépressible pression des forces sombres identifiées comme des parasites. Parfois, ces forces semblent avoir un impact tellement fort qu’elles conduisent à de véritables explosions, parfois les obscures énergies dissimulées sont éliminées de la paroi expressément par l’artiste devant l’auditoire stupéfait de la galerie. Cette action en apparence spontanée ne peut pas se produire sans une préparation minutieuse. »
Traduction d’un texte de Hajo Schiff