Né en 1971, il vit et travaille à Séoul.
Accueilli en résidence à Strasbourg en 2007.
Pour l’artiste coréen Yong Sik Park, il existe différentes frontières : entre les pays, les civilisations, les individus et entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas. Dans son travail, les frontières ne sont ni déconnectées, ni effacées. Elles représentent le manque de précision de leur existence, leur expansion et leur reconnaissance. Le monde est trop large et trop grand pour être divisé par une ligne ou une définition. Lorsqu’il était enfant, les images de fiction lui plaisaient énormément et il ne faisait aucune distinction entre ce qu’il voyait à la télévision et la réalité. Aujourd’hui ses pièces unissent cet univers fantaisiste et en tant qu’adulte, il tend encore à confondre la création animée du support médiatique et la réalité. Ces expériences sont à l’origine de ses sculptures, qui illustrent ses propres histoires et ont été montées dans le style du jeu de rôle.