Peintre et sculpteur italien, Giulio Paolini a inévitablement participé à ce qui fut théorisé par Germano Celant à la fin des années 1960 : l’Arte Povera.
Son œuvre est caractérisée par une fragilité, tantôt formelle, tantôt « spirituelle » et théorique, qui se traduit, dit-il, par les multiples directions et influences qu’elle porte, et qui émanent tant de la littérature, de la philosophie, de l’histoire de l’art que du monde qui l’entoure, de son Italie natale,… Il se qualifie également d’artiste « conceptuel » au sens où son œuvre donne très largement à penser et permet la visualisation de processus mentaux. Lorsque ce que nous voyons nous regarde.
Il a participé à des expositions personnelles et collectives dans le monde entier.