Née en 1963 en Corée du Sud, Young Hee Hong vit et travaille en France depuis 1991.
« L’idée à l’origine de mon travail s’enracine dans la réalité la plus élémentaire de notre
existence, à savoir : un espace caractérisé par la dualité, et qui ne tient qu’en fonction
des relations, des liens tissés entre les éléments composant notre environnement.
Cet environnement peut être soit naturel ou artificiel, soit matériel ou immatériel.
Mais il peut aussi suggérer l’opposition entre l’histoire et les nécessités du présent.Cette réflexion m’a conduit à interroger ce que pouvaient être les limites physiques ou
mentales d’une identité culturelle, sociale voir politique : une zone frontalière qui à la foi
sépare et lie, entre une entité et une autre. Cette réalité engendre toutes sortes
de communications et d’échanges, rationnels ou irrationnels, conscients ou inconscients,
visibles ou invisibles qui constituent le paysage de notre réalité ainsi que l’histoire :
d’un être, d’un lieu, d’une culture. »
existence, à savoir : un espace caractérisé par la dualité, et qui ne tient qu’en fonction
des relations, des liens tissés entre les éléments composant notre environnement.
Cet environnement peut être soit naturel ou artificiel, soit matériel ou immatériel.
Mais il peut aussi suggérer l’opposition entre l’histoire et les nécessités du présent.Cette réflexion m’a conduit à interroger ce que pouvaient être les limites physiques ou
mentales d’une identité culturelle, sociale voir politique : une zone frontalière qui à la foi
sépare et lie, entre une entité et une autre. Cette réalité engendre toutes sortes
de communications et d’échanges, rationnels ou irrationnels, conscients ou inconscients,
visibles ou invisibles qui constituent le paysage de notre réalité ainsi que l’histoire :
d’un être, d’un lieu, d’une culture. »