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Never asked for Heaven / Security + Design, an 80’s prison

Gruppo Tökmag, Security+Design / an 80’s prison

Gruppo Tökmag, Security+Design / an 80’s prison

Gruppo Tökmag, Security+Design / an 80’s prison

Gruppo Tökmag, Security+Design / an 80’s prison

Gruppo Tökmag, Security+Design / an 80’s prison

Jonathan Naas, Never Asked for Heaven

Jonathan Naas, Never Asked for Heaven

Jonathan Naas, Never Asked for Heaven

Jonathan Naas, Never Asked for Heaven

Jonathan Naas, Never Asked for Heaven

Jonathan Naas, Never Asked for Heaven

Jonathan Naas / Gruppo Tökmag

  • Date de début : 17.03.2017
  • Date de fin : 16.04.2017

Jonathan Naas et Gruppo Tökmag ont été lauréats du programme d’échanges artistiques Strasbourg/Budapest en 2016.

 

JONATHAN NAAS
Never asked for heaven

 

Né en 1987, vit et travaille entre Bâle et Strasbourg.

Par le recyclage d’objets et d’images glanées lors de sa résidence à Budapest en novembre 2016, Jonathan Naas active ici une nouvelle lecture des formes de son quotidien. Nourri par les légendes et le mystique, l’artiste détourne ici les codes visuels et culturels rencontrés en Hongrie, pour se placer à la jonction du mythe et de la connaissance.

Le contemporain et le primitif, l’ésotérique et le sacré se côtoient au sein d’un univers dystopique, où les objets semblent glorifiés à l’état de reliques.

Telles des résurgences d’une création oubliée ou d’un culte disparu, les œuvres fictionnelles de Jonathan Naas transportent dans cet implacable paysage ténébreux l’illusion d’un ailleurs possible, qui puiserait sa force dans l’efficacité symbolique et l’abstraction géométrique.

 

 

Gruppo Tökmag
Security + Design / An 80’s prison

 

András Tábori (né en 1975) et Tamás Budha (né en 1984) vivent et travaillent à Budapest.

Accueilli en résidence en juin 2016, le collectif Gruppo Tökmag choisit de rassembler sous un seul lieu, celui de l’espace d’exposition, les éléments non fonctionnels ou embarrassants repérés sur la maison d’arrêt de Strasbourg. Les dessins et objets présentés à l’Espace international traduisent l’ambiguïté de la relation entretenue par le détenu avec son espace de vie, les couleurs ou les formes ludiques de l’architecture carcérale qui l’entoure.

 

 

Dossier de presse